La physiologie masculine fait en sorte que notre virilité se dresse en étendard dès le matin, à notre insu même (maaagiiiiie).
J'appelle ça l'érection paradoxale !
C'est mieux que la GDM, non ?
Ben oui, G.D.M. ! ! ! ! La Gaule Du Matin ! ! ! !
Je préfère, et de loin: " l'érection paradoxale ".
Certaines vilaines aiment abuser de cette virilité pointée vers le ciel, alors que nous sommes en abîme, vulnérablement endormis.
Albane apprécie grandement caracoler doucement sur mon dard matinal, le souffle régulier contre mon oreille, les cheveux épars dans mon cou, elle fait de son mieux pour ne pas me réveiller et profiter de ma queue sans ma permission! (Grand Sourire).
Il arrive parfois, sommeillant dans le petit matin, que je reprenne doucement conscience, la queue en " détention " , malaxée par un entrecuisse avide et phagocyte.
Les yeux fermés, j'allonge une main à la rencontre de la chaleur d'un corps posé juste là.
Je flatte une rondeur, tentant d'en cerner les frontières, j'analyse; C'est rond, doux, tiède...
J'allonge une autre main, tout doucement, comme si j'approchais un animal farouche, prompt à déguerpir.
Je caresse et inspecte les contours offerts, j'emprunte les courbes que je reconnais soudain :
c'est un cul ! et quel cul !
SON cul qui ondule alors qu'elle m'engloutit de haut en bas.
Elle est empalée, s'agite en petits coups de reins, fait des ronds de bassin, son petit puit de femme comme vissé sur ma queue, pétrit ma chair de l'intérieur dans une lente frénésie.
Puis vient l'instant précieux ou elle implose...
J'ouvre alors les yeux, mes mains arrimées à ses hanches qui voguent sur moi, et la voyant ainsi, 'mon évidence', je me fragmente avant de fondre longuement en elle.